
Les Algues du Croisic
A la découverte des algues à travers le travail de Valérie et Jean-Marie Pédron, de la Ferme Marine « Les Jardins de la Mer » au Croisic : Nori, Wakame, kombu, Dulse, Laitue de mer, chondrus…
© Photos : Paul Stefanaggi

A la découverte des algues à travers le travail de Valérie et Jean-Marie Pédron, de la Ferme Marine « Les Jardins de la Mer » au Croisic : Nori, Wakame, kombu, Dulse, Laitue de mer, chondrus…
© Photos : Paul Stefanaggi

Autant fantasmé que typique, l’umami est la 5ème saveur (avec le salé, le sucré, l’amer et l’acide) et est une caractéristique de la cuisine japonaise. On la découvre particulièrement en dégustant le dashi, bouilon de base de la soupe Miso et de nombreux plats japonais.

Livres de cuisine, mangas, récits… voici une sélection de livres pour tous les amoureux du Japon et de sa cuisine

Bonnes assiettes, excellent rapport qualité / prix, ambiance conviviale… depuis cet été La Mandale est devenue la nouvelle bonne adresse qu’on se partage entre copains.

Guillaume et Côme ont imaginé une boucherie d’un genre nouveau où ils proposent uniquement des races endémiques de la région, élevées par une poignée de paysans engagés en faveur de l’environnement et du goût.

En plein coeur du quartier de Chantenay, Edo est probablement l’une des meilleures adresses de la ville pour déguster cette spécialité japonaise.

Parce que nous serons surement plus enclin à changer nos habitudes si cela se fait avec plaisir, envie et bon sens, parlons avant tout d’alimentation positive et prenons plaisir à découvrir les initiatives des uns et des autres et à nous initier à de nouvelles façons de consommer.

Chef renommé, cuisinier aventurier et collectionneur d’épices, Olivier Roellinger a troqué l’envie d’ailleurs et le voyage pour parler du quotidien, du terroir, du contenu de nos assiettes (et de celui de nos verres) et de politique alimentaire dans ce manifeste pacifiste et joyeux.

Burger, Hot Dog, Ramen, Fish & Chips… à Nantes, la street food se fait gourmet et écolo.

Supermarché coopératif, brasserie écolo et sociale, récupération d’invendus, aquaculture durable… voici quelques initiatives nantaises en faveur de l’alimentation positive

Ce journal local nantais vient de publier le guide « où acheter durable et solidaire à Nantes ».

Afin de soutenir l’engagement éco-responsable des restaurateurs en faveur de modes de consommation plus durables et écologiques, deux jeunes nantais ont créé le Green Food Label.

Suite aux deux événements organisés en 2018, L’é.paulée nantaise a remis ce lundi 14 octobre 9000€ à trois porteurs de projets qui oeuvrent en faveur de l’alimentation responsable.

Avec ses deux adresses à Nantes Sophie Provost peut se vanter d’être une entrepreneuse qui réussit. Mais, loin d’elle l’idée de s’appuyer sur ce qui semble acquis. Au quotidien elle n’a de cesse d’interroger ses choix pour les faire corréler à ses convictions sociales et écologiques.

Nantes n’a probablement jamais vu autant d’ouvertures prometteuses. Retour sur ceux qui ont fait l’actualité de l’été et de la rentrée 2019.

Cafés savants, gamelles rythmées et vins vivants. Joyeux programme pour cette nouvelle cave à manger.

Connu de tous les nantais, le Muscadet est un emblème de la gastronomie et du patrimoine régional.Pourtant son histoire, ses crises et ses batailles mériteraient d’être le sujet d’une bande dessinée d’Etienne Davodeau tant sa réputation, son existence et sa qualité ont été menacés au fur et à mesure des années. L’AOC Muscadet Depuis 1936, le muscadet est une AOC définit par un cahier des charges précis : Cépage unique : Melon de Bourgogne (blanc) Territoire : 81 communes au sud et à l’est de Nantes dont 67 en Loire-Atlantique, 10 dans le Maine-et-Loire et 4 en Vendée. Alcoométrie de 9 à 12% Rendement : 55 à 65 hectolitres par hectare 4 Sous-appelations : « Muscadet », « Muscadet de Sèvre et Maine », « Muscadet des Coteaux de la Loire » et « Muscadet Côtes de Grandlieu » C’est l’INAO (Institut National de l’Origine et de la qualité) qui a pour mission de veiller au respect de ce cahier des charges. Mais celui-ci ne se traduit pas seulement par les cépages, les territoires, la densité, les rendements et les méthodes de production, mais aussi par les typicités de goût (reconnues en dégustation). Un défaut de réputation Bon marché, le Muscadet a longtemps souffert d’une mauvaise réputation de « vin de comptoir », se faisant reprocher son acidité et son goût « vert », sans prise en compte aucune d’une variété des terroirs, de ses capacités de garde et des approches diverses des vignerons. Dans les années 1990, jusqu’à 70 % de la production était vinifiée par des négociants qui ont préféré opter pour une production de masse, standardisée. Le point de départ de ce changement fort tient en grande partie dans la crise de 1991 : un gel excessif ravage les vignes, fait chuter la production et entraîne la commercialisation de muscadets de moins bonne qualité sur les marchés français et international, quand celui-ci comblait alors les bistrots du grand-ouest et de Navarre. Déjà anéantis par l’impact de rendement, il faudra près de 25 ans aux viticulteurs pour que le Muscadet se défasse de la réputation qui lui est faite alors… celle que ces dizaines de vignerons indépendants tenteront année après année de contredire en démontrant que ce vin a une véritable identité et mérite d’être reconnu pour sa qualité. Contre environ 16 000 hectares dans les années 1980, aujourd’hui le Muscadet ne compte plus que 8 250 ha et environ 500 vignerons. Et sur les 52 millions de bouteilles vendues (dont 15% à l’export), 55% le sont toujours par des négociants. Et les batailles ne s’arrêtent pas là, chaque année plusieurs collectifs se font entendre pour que les terres en friche ne soient pas destinées au maraîchage intensif et oubliées de leur patrimoine viticole. Le Muscadet nature Depuis quelques années, la viticulture est en ébullition. De nombreux vignerons bousculent les codes et s’essaient à de nouveaux modes de culture, avec la volonté de préserver les sols, s’interdisant la chimie, expérimentent des méthodes de vinification naturelles et osent de nouveaux goûts, pour une nouvelle expression du terroir. Dans la région du Muscadet, ils s’appellent Marion Pescheux & Manu Landron (Complémen’Terre), Fred Niger (Le Domaine de l’Ecu), Vincent Caillé (Le Fay d’Homme), David Landron, Jérôme Bretaudeau (Domaine de Bellevue), Philippe Chevarin, Jacques Février (Le Raisin à Plumes), Marc Pesnot (Domaine de la Sénéchalière), Manuel Pineau ou encore Christophe Bosque (Vinilibre). Si ils font, et parmi d’autres cépages, du Melon de Bourgogne dans la région du Muscadet, ils ne peuvent parfois pas prétendre à l’appellation Muscadet.Car leur expérimentation, dont on saura en apprécier la richesse de saveurs, ne correspond pas toujours aux typicités de goût entendues aujourd’hui par l’INAO. Pourtant on imagine facilement que leur méthode de vinification est probablement plus proches de ce qui se faisait en 1936 avant que les cultures conventionnelles et l’utilisation des intrants chimiques ne les standardisent. Ainsi, dans le Muscadet et ailleurs, de nombreux vins natures apparaissent en « vin de France » ou « Vin de pays ». Ce qui est loin d’être du « vin de table » et cache souvent un militantisme en faveur du goût et de l’environnement.

Cette nouvelle boulangerie / café écolo et gourmande a pris ses quartiers fin août sur l’île de Nantes et propose une offre de grande qualité.

Dans cet authentique bar de quartier, Véronique Boutry a fait le choix de ne proposer que des vins naturels. Elle vous explique pourquoi

Voici une sélection de livres pédagogiques, de guides et de bandes dessinées qui nous aident à mieux connaître le vin nature.

Ne croyez pas que le vin nature est réservé à des puristes militants, il suffit de voir à quel point il s’est répandu dans bon nombre de bars, restaurants et caves nantais.

Cette association nantaise a mis en place une filière régionale de consigne de bouteilles en verre.

Cette application participative, dédiée aux amateurs de vin naturel, est à la fois un guide et une communauté.

Vin nature (ou naturel) ? Qu’est ce qui se cache derrière cette appelation
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Alors que le secteur de la restauration se retrouve face à une baisse de fréquentation liée au contexte social et économique, les restaurateur.rice.s membres de l’association Les Bouillonnantes ont souhaité créer un échange avec les client.e.s (ou potentiels client.e.s) afin de mieux identifier leurs attentes, leurs envies, leurs freins et pouvoir, éventuellement adapter leur offre.
Temps de réponse au questionnaire : – de 10 minutes